Comme on vous l’a déjà expliqué, les fluctuations font partie du fonctionnement naturel des marchés.
Elles sont normales, prévisibles… et surtout, elles ne remettent pas en cause la tendance haussière sur le long terme.
Crise géopolitique, élections, annonces économiques fortes… Autant d’événements qui peuvent faire trembler les marchés à court terme.
Mais avec un peu de recul, on constate toujours la même chose : ces chocs restent marginaux sur le long terme.
Prenons quelques exemples concrets :
- En 2020, lors de la crise du Covid, les marchés ont fortement chuté… avant de rebondir quelques mois plus tard.
- En 2008, après la crise financière, les investisseurs ayant continué d’investir ont vu leurs placements reprendre progressivement de la valeur
Autre point clé : les marchés réagissent souvent de manière anticipée aux événements politiques.
Début juin, à l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, le CAC 40 a perdu près de 600 points… alors même que les élections n’avaient pas encore eu lieu.
Et une semaine plus tard, il en avait déjà récupéré plus de 200.
Ce genre de mouvement est courant.
Il rappelle une chose essentielle : retirer son épargne en pleine baisse, c’est souvent agir au pire moment.