- Le choix de la domiciliation de votre entreprise est déterminant ;
- En recherchant rigoureusement une optimisation fiscale, dans le respect total du cadre légal français, il est possible de bénéficier d’exonérations et de taux d’impôts avantageux ;
- Afin de s’assurer d’obtenir les meilleures opportunités fiscales ainsi qu’une protection juridique face au risque d’évasion fiscale, il est utile de se rapprocher d’un cabinet d’avocats ou de conseil spécialisé dans le domaine fiscal.
Il est possible pour un entrepreneur de domicilier son entreprise à l’étranger afin de bénéficier de régimes fiscaux plus favorables notamment concernant les bénéfices recueillis par l’entreprise. Certains pays et territoires procurent des allègements fiscaux particulièrement attractifs.
Point d’attention : Attention cependant à ne pas domicilier votre entreprise à l’étranger uniquement pour des considérations fiscales et en exerçant en totalité sur le territoire français. Auquel cas, l’État français pourrait demander à la société de payer l’impôt français sur les sociétés. |
En Europe notamment, les pays suivants disposent de dispositifs fiscaux relativement avantageux :
- L’Espagne dispose d’un système où les charges salariales sont particulièrement faibles ;
- L’Angleterre dispose d’un impôt sur les sociétés à hauteur de 19% ;
- La Suisse dispose d’un impôt sur les sociétés de moins de 15% ;
- L’Irlande, quant à elle, dispose d’un impôt sur les sociétés à 12,5%.
A savoir :
Au Royaume-Uni, un projet de rehaussement de l’impôt sur les sociétés (IS) est en discussion, pour un passage de 19 à 25% à partir de 2023. |
Point d’attention :
Si vous souhaitez domicilier votre domicile fiscal à l’étranger, assurez-vous que vous ne violez aucune règlementation fiscale car la frontière entre optimisation et évasion fiscale peut être poreuse. Pour ce faire, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un avocat spécialiste en matière fiscale qui pourra vous conseiller sur l’opportunité de domicilier votre siège social à l’étranger. |